« (…) C’est pour moi un immense bonheur d’être aujourd’hui avec vous, chers frères et sœurs de la région de La Mé, et avec vous toutes et tous, chers invités, pour cette belle journée d’hommage et de reconnaissance à un homme d’exception, S.E.M Alassane OUATTARA, Président de la République de Côte d’Ivoire.
Je voudrais vous exprimer ma joie profonde et sincère pour cette grande mobilisation du peuple Attié et des peuples frères et alliés. Merci, merci pour cette communion fraternelle, cette assemblée magnifique, en cette occasion si belle et si particulière. Merci à toutes et à tous d’avoir fait le déplacement, j’en suis touché, ému, honoré.
Il s’agit là d’une occasion unique, un jour historique, un jour exceptionnel, de ceux qui arrivent rarement, en une voire plusieurs générations entières.
Ces hommages et remerciements au Président Alassane OUATTARA ont une dimension qui va bien au-delà de ce qu’on peut imaginer, et c’est ce qui justifie et explique notre présence ici, si nombreux, vibrants, radieux, parfois émus, toujours heureux !
Face à cette joie qui nous étreint et nous emporte, vous voudrez bien m’autoriser, mes amis, à vous parler peut-être un peu de moi, chose bien inhabituelle pourtant comme vous le savez !
Et si je veux rompre avec cette tradition, cette réserve coutumière aujourd’hui, c’est parce que c’est moment exceptionnel qui incarne, pour moi, dans tout son sens, l’existence même du destin.
Rendez-vous compte. Il y a 65 ans, quelque part dans cette grande région, débarquait de Paris pour des circonstances particulières sur lesquelles je ne peux m’étendre, un petit bébé, de moins d’un an, que l’on confia aux bras et à l’amour d’une grande mère à qui l’on demanda d’être une mère.
Cette femme était exceptionnelle d’attention, d’affection, de tendresse et de protection.
Mes premiers yeux d’enfants conscients furent donc bercés par les ondulations des cases en toit de chaume, par la beauté originelle de la forêt millénaire qui nous environnait et par les plaisirs simples des joies de l’eau dans les petites rivières ou nous allions batifoler, vivant les conditions habituelles de cette époque dans les villages, dans une case en terre sous un toit de chaume, sans électricité, ni eau potable. J’ai connu toutes maladies qu’un enfant peut connaitre à cet âge, soigné par la force des plantes que mon grand-père guérisseur de métier connaissait à la perfection.
Les cinq premières années de ma vie se déroulèrent donc là, sur le cou de mon grand-père pour aller au champ en semaine, attaché au dos de ma grand-mère pour aller le dimanche à l’église harriste, ou assis sur un tabouret les soirs au clair de lune, écoutant les grands s’entretenir de sujets trop sérieux pour mon âge, tout en étant envahi de la chaleur réconfortante de ces sages du troisième âge.
Je commençais la première année scolaire dans la chapelle du village transformée pour la circonstance, comme il en était de coutume.
L’affection de ma grand-mère était telle que les enseignants lui suggérèrent de me faire partir à Abidjan si je voulais avoir une chance de réussir dans la vie et c’est ainsi que j’arrivais à Abidjan à Adjamé aux 220 logements. C’était à l’évidence trop tôt la fin de mes années d’insouciance et de mes bonheurs simples.
A l’école primaire d’Adjamé, je dois vous confesser que l’homme que vous voyez discourir devant vous aujourd’hui demeurait muet et silencieux parce que, tout simplement, ne comprenant pas un mot de français.
Et pour tout un chacun, c’était tout simplement inconcevable que le fils d’un député ivoirien né à Paris, puisse être dans une telle situation.
La classe était donc une scène que je contemplais, pareil à un spectateur qui regarde un film en langue étrangère ; et il me fallait attendre ces heures bénies de recréation, pressé que j’étais de repérer un ou 2 Attiés à qui je demandais sans cesse où j’étais, de quoi il s’agissait et ce qu’il se passait.
Ce monde n’était pas le mien. Je ne retrouvais pas la force de mes arbres ni le chant de mes rivières, le toit rassurant des cases, les histoires du soir, la sagesse des anciens, la présence permanente, protectrice et bienfaitrice de ma grand-mère. J’étais arraché, perdu.
Perçu comme un cancre, abonné aux redoublements, on avait établi que je ne pourrai jamais parler la langue de Molière et qu’après tout, grâce aux efforts et aux relations de mon père, il me serait sans doute possible d’atteindre péniblement la fin du cycle élémentaire pour aller ensuite apprendre la mécanique et qui sait ouvrir, plus tard, un petit garage.
Mes amis,
Oui, c’est bien ce garçon à qui l’on promettait – au mieux ! – un destin de petit garagiste, ce garçon qui ne parvenait pas à parler le français et encore moins l’anglais, oui, c’est bien ce petit garçon qui est devant vous aujourd’hui en tant que Premier ministre de la République de Côte d’Ivoire, par la grâce de Dieu et la confiance du Président de la République, SEM. Alassane Ouattara !
Mais je veux dire face à vous aujourd’hui que ce destin je le dois d’abord à cette force inébranlable et à cet amour inaltérable qui me furent donné enfant par ces grands-parents admirables, dans ce village au cœur des forêts de la Mé. Sans eux, je sais que je n’aurais pas survécu et je ne serai pas là aujourd’hui avec vous. Sans eux, je ne serai aujourd’hui pas là avec vous.
Et comment ne pas vous dire à quel point, tout à l’heure, en revoyant cette famille du village, arrêtée sur mon trajet pour me célébrer, je n’ai pu m’empêcher d’avoir une larme à l’œil. A jamais, ces moments resteront gravés dans mon âme et dans mon cœur.
Au-delà de ma famille, je veux aussi remercier ici tous mes parents, tous les membres de ce peuple Attié qui m’a tant donné et tant appris. Oui, chers parents, vous m’avez toujours dans votre immense majorité compris et soutenu, comme seuls des parents peuvent et savent le faire.
Alors, Merci, Nansin Nansin Nansin chers parents !
Mes chers amis,
Je ne pouvais commencer cet hommage au Président de la République sans dire quelques mots des raisons qui me lient si intensément à ma région et au peuple Attié mais aujourd’hui n’est pas le jour de les remercier, aujourd’hui est pour nous, eux et moi, le moment d’exprimer notre gratitude la plus profonde et notre reconnaissance absolue à une autre personne, sans laquelle mon destin n’aurait jamais été celui qu’il fut et qu’il continue d’être aujourd’hui, à mille lieux de toute histoire écrite…
Et cet homme, vous le savez, c’est celui qui guide notre marche nationale, cet homme c’est le Président de notre République, cet homme que je vous demande de célébrer avec toute l’énergie de votre cœur et la force de votre âme, cet homme c’est Alassane Ouattara !
Et tous ici, nous sommes heureux de célébrer le Président car nous savons ce que nous lui devons. Et nous devons le partager à l’ensemble de nos invités spéciaux, leur expliquer pourquoi cette mobilisation est si exceptionnelle, pourquoi notre joie est si grande.
A lui tout seul, le Président de la République Son Excellence Monsieur Alassane OUATTARA a transformé le destin d’un peuple en posant trois actes majeurs que nous n’aurions jamais cru possible.
La première raison, c’est que ce peuple digne et fier, le nôtre, était éparpillé dans diverses zones, et ce peuple était frustré de ce qu’un découpage ait pu être fait sans prendre en compte son unicité comme son identité. Et c’est en 2013 que cet espace géographique, dont les limites regroupaient plus de 80 % ce peuple Attié, fut créé. Oui, c’est en 2013 que le Président Alassane Ouattara créa la région de la Mé, à l’intérieur de laquelle toutes les populations Attié de la Côte d’Ivoire se reconnaissent aujourd’hui. En 2013, avec la création de la Région de la Mé, le Président de la République venait ainsi, comme nul autre avant lui, de réparer une injustice et sans le Président de la République, je ne serais pas non plus devenu le premier Président du Conseil Régional de La Mé.
La deuxième raison qui fait que nous célébrons le Président avec cette évidence et cette communion spontanée est que, depuis l’indépendance et durant 50 ans, il n’y a pas eu d’investissement plus important que celui fait au cours de la dernière décennie, que ce soit :
En termes d’infrastructures routières, avec le bitumage des axes Adzopé – Yakassé-Attobrou et Yakassé-Attobrou-Béttié, la réhabilitation des axes Adzopé-Akoupé, Akoupé Kotobi et les travaux de voirie urbaine dans les 4 chefs-lieux de département;
En termes d’infrastructures hydrauliques, avec la construction d’une station d’eau potable à 40 kms d’Abidjan à partir du fleuve Comoé, pour alimenter la capitale et toutes les localités environnantes ;
En termes d’accès à l’électricité et à l’énergie, favorisant l’aménagement d’une zone industrielle pourvoyeuse d’emplois à Adzopé et dans toute la Mé ;
En termes d’infrastructures essentielles au développement humain : je veux parler des écoles évidemment, avec la construction de plus de 20 collèges de proximité répartis uniformément dans toute la région et enfin – comme l’oublier ! – notre magnifique Centre Hospitalier Régional, structure sanitaire inimaginable pour notre région, dotée d’équipements les plus modernes et de services qui permettent de traiter l’ensemble des pathologies qui affectent nos populations.
Ce sont ainsi plus de 200 milliards de FCFA qui ont été investis ces dix dernières années. Une somme impensable, inouïe, presque divine. Une somme d’investissements qui ont bouleversé de façon réelle et concrète le quotidien de nos populations et mieux encore, l’avenir de nos enfants.
La troisième raison pour laquelle nous célébrons aujourd’hui avec cette joie positive et rayonnante la personne du Président de la République, ne vous est sans doute pas inconnue !
Dans cette Côte d’Ivoire si riche en hommes de qualités, c’est dans notre région que le Président de la République a décidé de donner à l’un de ses fils cette opportunité extraordinaire de servir son pays, en l’élevant à cette charge suprême et prestigieuse, à ce poste de confiance par excellence.
Mesdames, Messieurs,
C’est pour ces raisons et tant d’autres que nous devons à celui qui a pu poser tous ces actes, pour une seule région, pour un même peuple, un remerciement, une reconnaissance, une gratitude éternelles !
Mesdames et Messieurs,
Chères sœurs, chers frères,
Chers amis,
« La reconnaissance est la mémoire du cœur » a dit le romancier et poète danois, Hans Christian Andersen.
La reconnaissance est, plus qu’une règle de courtoisie, une valeur puissante. Et c’est cette valeur qui représente la raison profonde de notre rassemblement.
« La reconnaissance est la mémoire du cœur ». Je lui suis à jamais reconnaissant pour l’extrême confiance qu’il m’accorde et me renouvelle, depuis de longues années, sur le long chemin d’épreuves partagées et de combats communs menés sous sa haute direction.
Voici bientôt plus d’une décennie qu’il contribue à forger mon destin, de Ministre, de Secrétaire général de la Présidence puis de Premier ministre et m’offre l’opportunité de partager un tant soit peu cette fabuleuse aventure du développement fulgurant de notre pays.
J’ai découvert un homme unique, un être extraordinaire, qui m’a offert ce dont tout patriote peut rêver : la possibilité de faire de son existence, une vie de mission, au service de son État, au service de son peuple, au service de leur progrès, de leur redressement, de leur rayonnement.
Je l’ai dit hier, je le redis aujourd’hui : si je travaillais au présent, j’ai appris aux côtés du Président, à servir l’avenir.
Oui, j’ai tant appris et j’apprends tant encore, des qualités extraordinaires de cet homme, de sa gestion si méticuleuse des affaires publiques au management éclairé des hommes ; de l’exigence absolue de l’anticipation au sens le plus aiguisé de l’attention au détail ; de la mobilisation de chaque instant à la table de travail à l’importance cruciale d’un réseau planétaire, du noble sens du devoir à ce patriotisme rayonnant, qui guide, inspire et mobilise.
Le Président est à mes yeux un modèle, un guide, un maître. Je travaillerais ainsi encore et toujours, en donnant pour lui et au pays tout entier, tout ce que je sais, tout ce que je peux, tout ce que j’ai.
Excellence Monsieur le Président de la République, tous les mots, tous les gestes ou tous les regards, toutes les assemblées, tous les discours ou tous les hommages, tous, n’arriveront jamais à traduire pleinement l’intensité de la gratitude que mon cœur et mon âme ressentent à votre égard. Ma loyauté à votre œuvre et à votre personne sera éternelle.
Mesdames et Messieurs,
Chères sœurs, chers frères,
Chers alliés,
L’adage dit qu’à côté d’un grand homme se tient toujours une grande dame. A cet instant de mon intervention, j’ai une pensée toute particulière à l’endroit de la Première Dame, Madame Dominique OUATTARA dont le soutien constant, l’écoute précieuse et les conseils avisés ne m’ont jamais fait défaut.
Je voudrais également saluer, au nom des populations de la région de La Mé, et particulièrement des femmes, sa réputation de « Dame au grand cœur », une réputation qui se renforce chaque jour à travers son engagement solidaire et efficace par le FAFCI.
Nansin, Nansin Monsieur le Président de la République ! Nansin, Nansin Madame la Première Dame !
Mesdames et Messieurs,
Chers parents,
Au travers la confiance que le Président de la République a placé en moi et de la mission qui est la mienne aujourd’hui, j’ai également conscience que le chemin j’ai parcouru le fut avec mes prédécesseurs qui, comme moi, ont partagé à ses côtés son rêve d’un avenir lumineux pour la Côte d’Ivoire et qui malheureusement ne sont plus.
En ce jour où, devant mes parents, je rends hommage au Président de la République, je veux adresser des pensées pieuses pour mes frères Amadou Gon Coulibaly et Hamed Bakayoko, car au cours de tout ce chemin parcouru ensemble, que Dieu a bien voulu nous accorder, notre amitié et notre fraternité nous ont permis de surmonter ensemble les épreuves et les obstacles, de célébrer les succès du Président de la République et de forger ainsi un héritage que je m’efforcerai toujours, avec mes frères et sœurs du RHDP, d’honorer.
Et c’est ce qui faisait dire à feu mon frère Amadou Gon Coulibaly à Ferkessédougou en 2019 au sujet du Président de la République et je cite : « le développement d’un pays est un travail de longue haleine, un travail qui se construit dans le temps et dans la constance. La marque des grands hommes d’Etat est d’en accélérer le rythme, par des sauts qualitatifs importants, grâce à leur leadership personnel, leur vision et leur courage politique.
Et c’est ce que fait le Président de la République, SEM Alassane OUATTARA.
J’en veux pour preuve ce que nous savons tous, ce que nous voyons tous :
Son œuvre unique de redressement d’une nation à terre, déchirée, frôlant l’abîme qui en l’espace d’une décennie, redevient ce phare de l’Afrique de l’Ouest, ce phare qu’elle n’aurait jamais dû cesser d’être.
Cette terre où la richesse par habitant a doublé en l’espace de 10 ans, pour placer la Côte d’Ivoire devant d’immenses pays qui n’ont eux jamais connu le moindre conflit et disposent d’immenses ressources sans commune mesure avec les nôtres. C’est dire l’ampleur du succès construit par le Président.
Ce que nous voyons tous, c’est aussi la force continue de sa vision pour l’avenir, projetée jour après jour, au-delà des contingences du quotidien vers cette Nation nouvelle promise pour 2030 : cette Côte d’Ivoire Solidaire où la richesse par tête aura à nouveau doublé, où la pauvreté aura été divisée par 2, où l’espérance de vie aura gagné 10 ans.
Et cette Côte d’Ivoire d’espérance, c’est parce qu’elle est stable, unie et en paix, qu’elle pourra advenir. Et c’est là sans doute le tout premier succès de l’œuvre d’Alassane Ouattara. Celui d’avoir rétabli la sécurité dans le pays pour permettre à nouveau le vivre ensemble puis très vite, d’avoir consacré années après années des efforts inlassables pour oser l’union nationale.
Oui, Mesdames et Messieurs, je dis oser l’union nationale. Car il faut une part extraordinaire de courage pour poser les actes qui veulent unir, réunir les femmes et les hommes, par-delà les logiques du passé, par-delà les différences d’hier ou les oppositions d’aujourd’hui. De les emmener ensemble vers demain, autour de projets communs, autour d’objectifs d’avenir, dans une cohésion sociale profonde, dans une réconciliation des cœurs véritable, dans une dynamique citoyenne absolue !
C’est là tout le sens de la création du RHDP, le nouveau parti de l’unité de la nation, le nouveau parti de l’avenir du pays.
Il est ce creuset qui réunit les meilleurs des talents, les plus engagés des patriotes, pour contribuer quelles que soient leurs origines sociales, quelles que soient leurs origines ethniques, quelles que soient leurs origines religieuses, à la seule cause qui vaille : l’amélioration des conditions de vie de nos populations et la grandeur de la Côte d’Ivoire.
Le Président de la République a réussi à faire du RHDP une vraie famille, c’est le sentiment que j’éprouve lors des différentes rencontres réunions que nous avons, celui d’être avec des amis, des frères, des parents sans aucune autre forme de considération, partageant en commun une soif de bien et de beau pour notre pays et nos enfants.
Mesdames et Messieurs,
Chers parents,
De l’endroit où je suis, je peux partager avec vous la conviction que la Côte d’Ivoire de façon irrémédiable est promise à un avenir radieux et que tout est mis en œuvre par le Président de la République pour que tous les acquis demeurent irréversibles.
Pour la Côte d’Ivoire, et face à une telle œuvre de reconstruction du présent et d’architecture de l’avenir, nous n’avons qu’un seul choix, qu’une seule parole, qu’une seule évidence : être là demain comme nous sommes là aujourd’hui, aux côtés SEM. le Président de la République, solidaires et mobilisés autour de lui, avec lui, pour lui.
Nous n’aurons qu’un seul combat : protéger et faire grandir l’unité et le rassemblement de la Côte d’Ivoire.
Nous n’aurons qu’un seul but, celui de servir notre peuple et lui donner une vie meilleure au quotidien, dans la paix, la prospérité et la fraternité.
Avec mon peuple et mes parents, avec les populations de la Mé et les régions alliées, unis par une même force, celle de la vérité et de la fidélité, nous sommes et nous serons toujours rangés d’un seul bloc derrière vous Excellence Monsieur le Président de la République.
Mesdames et Messieurs,
Chères sœurs, chers frères,
Je voudrais saluer la présence distinguée de Madame Rokia OUATTARA, sœur du Président de la République, qui a bien voulu se joindre à cet événement. Merci Rokia pour ton soutien constant dont ta présence ici est le témoignage éloquent.
Je remercie mes très chers aînés le Président de l’Assemblée Nationale, Monsieur Amadou Soumahoro et le Président du Conseil Economique, Social, Environnemental et Culturel, le Dr Aka Aouélé, les Ministres des régions sœurs et alliées qui sont venues, à la tête de très fortes délégations, s’associer à leurs frères de La Mé pour exprimer notre gratitude au Président de la République. Cette fraternité consolide la cohésion régionale et fortifie l’unité nationale donc la paix et le développement. A tous, j’adresse mes chaleureuses félicitations pour cette solidarité agissante, symbole fort d’unité et de cohésion nationale derrière le Président de la République, S.E.M Alassane OUATTARA.
Mes remerciements particuliers vont à Madame le Ministre d’Etat, Ministre des Affaires étrangères, Madame Kandia Camara, chère sœur. Je voudrais saluer ta présence pleine d’encouragement et ton engagement indéfectible auprès du Chef de l’État.
Mes remerciements particuliers également à Monsieur le Ministre d’Etat, Ministre de la Défense, Monsieur Téné Birahima Ouattara, mon grand voisin au Palais présidentiel, pendant les quatre années que j’y ai passées en tant que Secrétaire Général. Votre présence nous honore et nous comble de joie.
Je remercie spécialement le Ministre Adama BICTOGO, Vice-Président de l’Assemblée Nationale, vaillant et infatigable Directeur Exécutif du RHDP qui conduit la forte délégation des membres de notre cher parti.
Je remercie bien évidemment tous les membres du Gouvernement qui me font l’amitié de leur présence à nos côtés, malgré des agendas bien chargés et les membres des familles GON COULIBALY et BAKAYOKO qui nous font l’honneur de leur présence et nous apportent leur soutien si précieux.
Je remercie également les autorités administratives, les élus, les cadres, les autorités coutumières et religieuses, ainsi que les militants des partis frères.
Je voudrais enfin remercier les militants de notre parti, le RHDP qui sont venus de tous les horizons de notre pays pour nous soutenir. Nous avons cheminé au cours de ces deux dernières années, et par la grâce de Dieu, nous cheminerons ensemble encore pendant très longtemps.
La présence distinguée et chaleureuse de chacune et de chacun de vous, fait de ce moment, un moment de grande émotion dans ma vie, au-devant mes parents.
Merci à toutes et à tous d’avoir fait prévaloir la fraternité, notre fraternité sur la politique, car nos sœurs et frères d’autres partis politiques sont venus dire, avec nous : « Merci au Président de la République », qui a permis que l’un de leur fils accède aux fonctions de Premier Ministre, Chef de Gouvernement de notre pays.
C’est cette indéfectible union des cœurs et des esprits qui est au fondement même de la vision du Président de la République. C’est cette indéfectible union qui permettra à notre pays de continuer à grandir.
C’est cette indéfectible union dont il nous appartient d’être les gardiens vigilants et les militants vaillants !
Vive la région de La Mé, unie et prospère !
Vive les régions alliées, fraternelles et solidaires !
Vive la Côte d’Ivoire forte et rassemblée derrière le Président de la République, S.E.M Alassane OUATTARA !
Je vous remercie.