Papara, village situé à environ 45 kilomètres de Tengrela, dans l’extrême nord de la Côte d’Ivoire, sera bientôt doté d’un foyer polyvalent dédié à la jeunesse.
C’est la réalisation de la promesse de Soumaila Diarrassouba, opérateur économique et fils du village, qui voit un début de réalisation avec l’engagement ferme pris par le ministre Bruno Nabagné Koné, parrain de la cérémonie, de contribuer à la construction et à l’équipement de cet espace de vie et de loisirs.
Il a promis offrir 20 tonnes de ciment et à prendre en charge les frais d’équipement en matériel du futur foyer des jeunes de Papara.
Un soutien qu’il justifie par son attrait pour tout ce qui contribue à apporter un plus en termes de développement aux localités de la Bagoué. « Ma marque déposée, ce qui me caractérise comme vous l’avez indiqué, c’est le développement. Je privilégie tous les rassemblements qui nous permettent d’apporter des choses concrètes à nos populations, c’est pourquoi je suis heureux d’être avec vous, pour le lancement de ce projet », a-t-il affirmé.
Bruno Nabagné Koné a exhorté les jeunes de Papara à faire bon usage de ce foyer. « Je souhaite que ce foyer ne soit pas seulement un lieu de loisir, mais qu’il puisse également servir à vous rassembler pour porter la réflexion sur les problèmes de développement de votre village… », a-t-il invité.
L’initiateur du projet, Soumaila Diarrassouba, s’est dit honoré de ce soutien de taille et s’est engagé à traduire en acte, les recommandations du ministre Koné qui, en plus d’être un homme très attaché aux problématiques du développement rural, est aussi un homme foncièrement généreux. Il s’est engagé à respecter une tradition qu’il a instaurée depuis les dernières campagnes présidentielles, et qui consiste à faire des heureux dans le public. Deux personnes choisies au hasard dans le public sont réparties avec la somme d’un million de francs offerte par le ministre.
Un geste qui vise, selon lui, à « apporter une aide substantielle à ces femmes, afin qu’elles puissent entreprendre des activités génératrices de revenus et pouvoir ainsi améliorer leurs conditions de vie ».
Nomel Essis avec Sercom