Le cercle de famille de la Plateforme Nationale s’agrandit grâce au leadership de son président Zadi Gnagna. En effet, le Mouvement des Instituteurs Adjoints de Côte d’Ivoire (Miaci), y a fait son entrée ce jeudi 11 août 2022.
Pour marquer d’une pierre blanche ce choix, Armel Yavo, secrétaire général dudit syndicat-créé depuis le 30 janvier 2021-a conduit une délégation du bureau national dans les locaux de la plateforme à Cocody deux plateaux.
Justifiant cette adhésion, Armel Yavo a expliqué que c’est au vu des acquis de ces dernières années, et tout le travail que Zadi Gnagna abat, que « le Miaci a décidé d’adhérer à cette centrale pour aussi travailler auprès » de lui et «aussi dans la centrale, pour le bonheur des fonctionnaires de Côte d’Ivoire et aussi pour le bonheur des instituteurs Adjoints de Côte d’Ivoire, qui sont autour de moi et aussi en région ».
« Aujourd’hui, nous venons à la plateforme, nous voudrions confier notre revendication [la revalorisation du profil de carrière des instituteurs adjoints de Côte d’Ivoire], au président Zadi Gnagna et à ceux qui l’accompagnent a vraiment jeté un regard sur la revendication des instituteurs adjoints afin que cela puisse aboutir. », a-t-il souligné.
Acceptant cette décision, Zadi Gnagna a remis la réponse au courrier de demande d’adhésion et le document adressé le 05 février 2019 par le ministre de l’emploi Pascal Abinan, qui classe la plateforme nationale parmi les centrales syndicales de Côte d’Ivoire.
Aussi, Zadi Gnagna a salué la création du Miaci, afin que leur voix qui était couverte dans un ensemble global, puisse être désormais entendue. Il a appelé à la discipline à savoir suivre la ligne définie par le groupe, même si dans les débats, on n’est pas d’accord.
« A la plateforme, nous sommes très structurés, organisés. Ici nous n’acceptons pas l’indiscipline, parce que pour nous, c’est le fondement de toutes les victoires que nous engrangeons », a-t-il martelé.
Le président de la plateforme nationale, a par ailleurs exhorté les nouveaux adhérents au travail, car, a-t-il insisté, «le syndicalisme est un métier plein. Il doit être le premier travailleur le plus correct dans son emploi. Il doit respecter la loi, les procédures en vigueur, être assidu et discipliné pour ne pas être pris à défaut».
Pour conclure, il a invité le corps enseignant à être fier des mesures prises par le Chef de l’État Alassane Ouattara, en faveur des fonctionnaires.
Fulbert Yao