Le 5 décembre, la Coordination Africaine des Droits de l’Homme pour les Armées (CADHA), partenaire de l’Action mondiale contre les atrocités de masse (GAAMAC), sensibilisera 70 députés sur les meilleures pratiques concernant la création et la gestion des mécanismes nationaux pour la prévention des génocides et des atrocités de masse. Cette session sera délivrée avec l’appui du Raphael Lemkin Center for Africa (CERLA) et le soutien de l’Action mondiale contre les atrocités de masse (GAAMAC).
Cette session vient en suivi au premier atelier, au profit de 20 députés et sénateurs, qui s’est tenue à Yamoussoukro du 8 au 9 juin 2021.
L’Afrique de l’Ouest a connu sa part d’atrocités de masse
Le but de la session est accroître la capacité de prévention des atrocités de masse, en Côte d’Ivoire et en Afrique.
En s’inspirant des modèles des pays de la Conférence Internationale sur la Région des Grands Lacs, l’atelier informera les députés sur les mécanismes nationaux de prévention et leurs meilleures pratiques. Dans un contexte actuel post-conflit, la Côte d’Ivoire renforce ses efforts et vise à utiliser la législation comme moyen de lutte contre de tels crimes.
La séance d’ouverture sera présidée par le Président de l’Assemblée Nationale, en présence de haut-représentants étatiques ainsi que du Vice-Président du Groupe de Travail Afrique de GAAMAC.
Fulbert Yao