1-Les dérives provocatrices .
« La vie est un écho, ce que tu envoies revient toujours » . La survenue fréquente des hallucinations délirantes du chef de la junte au Burkina Faso contre la Côte d’Ivoire notamment, doivent rapidement inquiéter son peuple si, celui-ci compte vivre en harmonie de coexistence avec son voisinage le plus utile pour sa survie, aussi bien au plan économique, social que, humanitaire.
Cet homme qui vit en retrait tant sur le plan social qu’affectif, est simplement un schizophrène.
Les raisons de cet attribut que nous lui attribuons, sont multiples et se traduisent par l’altération de ses capacités d’interaction avec son environnement, mais également par une désorganisation comportementale, mentale et provocatrice .
Ce personnage peu commode, nous émeut par la complexité de sa vie peuplée par de symboles infernaux et de rédemptions délirantes, qui se confirme dans l’illusion de vouloir faire de son pays aride, le premier producteur de cacao, dans ignorance qu’il doit d’abord défier Dieu le créateur pour inventer son territoire agricole favorable à la culture du cacao.
2- l’inconscience insouciante.
Les déclarations sur le pseudo complot ivoirien, met en vidence sa vulnérabilité spécifique du moi, due certainement à des facteurs de distorsion de sa pensée, bien qu’il ne soit pas encore au stade de la démence.
Débordant de souffrance amère dans une insconcience insouciante, il invente sa propre théorie du complot, en réunissant des gens qui ont cessé de s’appartenir pour les soumettre à un exercice auquel ils n’y croient pas malgré leur aliénation, tellement le motif est grotesque.
Toutefois des burkinabés , ne pouvant se soustraire de ce rassemblement tant la dérive monarchique est présente au quotidien dans leur pays, l’occasion était pour accuser sans preuve tangible, mais avec l’arme populiste de promesse imaginaire de justification à présenter plus tard sur les dirigeants de la Côte d’Ivoire et le Benin, deux pays qui se développent dans la paix, sous la lumière de la démocratie et, dans la bienveillante transparence des actions de leur président à la satisfaction des peuples respectifs.
3- l’impossible détachement.
Bien évidemment, l’incapacité de cette junte à imiter ce succès, pour mettre en place un programme de développement ne serait-ce que par une luciole de sortie de crise de son pays, continue de peser comme une menace pour la démocratie, et des valeurs de d’une nation dont, l’essentiel se résume à l’éducation, la sécurité, le social et le respect de leurs droits et devoirs vis-à-vis de son peuple enlisé dans les mots de l’égo depuis bientôt quatre ans.
Le président de la République de Côte d’Ivoire qu’il ne cesse de calomnier, ne peut être détaché du peuple qui l’a élu, et c’est avec l’accord de celui-ci qu’il a offert un camp de réfugiés aux ressortissants burkinabés pour garantir leur liberté ayant fuis l’incompétence de leur dirigeant, pour se mettre à l’ombre de la réalité démocratique républicaine ivoirienne.
Dans une approche pédagogique, il est préférable de souligner l’ignorance du putschiste schizophrène, en lui enseignant les aspirations des ivoiriens qui, sont préoccupés par les valeurs de développement et de liberté et non, du bouleversement par des coups d’Etat.
Par conséquent, seuls les points de convergence de la démocratie et du développement sont les remèdes de son mal lesquels, ne peuvent survenir que dans l’organisation d’une élection, pour remettre le pouvoir aux gens capables, des bâtisseurs comme le président ivoirien Alassane Ouattara révélé par les élections démocratiques et non par les armes.
4- les valeurs de la nation.
Le président de la République Alassane Ouattara, issu de ce processus démocratique, est une école qui enseigne par ses pratiques que, la démocratie et le développement sont deux mythes au caractère toujours inachevé, invitant à travailler sans relâche pour l’épanouissement de son peuple et non de bavarder sans cesse, comme le putschiste pour justifier son incompétence en accusant sans preuve les autres.
Loin de la superficialité dominante du putschiste, le président de la République Alassane Ouattara exerce son pouvoir par la démocratie, un régime représentatif, pluraliste et compétitif au travers duquel, il bâtit le développement de son pays en réalisant un ensemble de progrès économiques, sociaux et culturels grâce auxquels, il peut se permettre d’offrir au peuple de son détracteur, le luxe de l’asile paisible sur son territoire.
C’est pourquoi, l’extravagance des accusations du putschiste schizophrène contre la Côte d’Ivoire, ses errances stupides auxquelles il référe pour acusser le régime ivoirien, sont des délires d’un esprit en souffrance dans un corps qui cherche à rejeter la peur qui le hante.
Ses ressortissants qui vivent chez nous, sont les témoins des 13 ans d’une nouvelle façon de vivre des ivoiriens, plus consciente et plus épanouie.
Ce constat trouve son explication dans la transformation de nos habitudes de vie, guidées par la paix et l’harmonie avec tous les immigrants, démontant ainsi les valeurs du président de la République Alassane Ouattara sans qu’il en dise un seul mot.
Ce processus de développement engagé par le président de la République Alassane Ouattara, engendre par lui-même, l’apparition d’une classe moyenne et, des populations beaucoup plus instruites, favorisant de ce fait, un nouvel environnement dans lequel les valeurs de la nation sont respectées.
4- la théorie du choix rationnel.
Ces attaques inutiles et futiles contre notre pays ne sont, ni conformes à nos valeurs, ni accessibles aux qualités éthiques et républicaines du président de la République Alassane Ouattara.
La théorie du choix rationnel nous éduque à comprendre nos relations et, d’avoir le choix de notre coopération, en raison de celle-ci, un personnage incongru vivant dans une inconscience démesurée, reclus dans les terres sans espoir d’être sauvé de la peur qui le hante, mérite que l’on s’en éloigne pour le laisser souffrir dans les émotions dévorantes.
Kalilou Coulibaly, Doctorant EDBA.
Ing, MBA, DESS in business administration.