La génération Bloussoué de Vitré 2 est montée au créneau pour dénoncer la révocation de leur chef, Essy Laurent, par l’autorité préfectorale de Grand Bassam. Dans un communiqué dont nous avons reçu copie le 17 novembre 2025, Alabra Joseph François, porte-parole, n’est pas allé avec le dos de la cuillère pour faire la lumière sur la situation qui prévaut à Vitré 2.
Selon lui « Un groupuscule de personnes se faisant pompeusement appelé collège de notables est actuellement en train de s’activer à créer un désordre institutionnel au sein de la communauté villageoise de Vitré 2, à la suite de la diffusion de l’arrêté préfectoral du 3 novembre 2025 portant révocation du chef du village ». A l’en croire, des radicaux opposés au chef manipulent à souhait des jeunes avec des actions agressives, sont constamment entretenus financièrement par un impénitent opérateur immobilier amplificateur de la crise qui prévaut au village.
« Malheureusement, les autorités au niveau de la préfecture présageant de faits, absolument tronqués, s’obligent à légitimer ces individus dont le seul objectif est de brader coûte que coûte, les terres du village, sans penser aux futures générations, au détriment de la chefferie légitime légalement établie », a-t-il dit.
Puis d’ajouter : « C’est pourquoi, la génération Bloussoué actuellement au pouvoir voudrait, à travers ce communiqué, dénoncer avec fermeté, l’imposture de ce soi-disant collège de notables dont la composition exhaustive n’a jamais été exposée du fait de son incongruité ».
Pointant du doigt un fils du village en la personne de Taki Christophe qui semble tirer les ficelles «n’est que le gardien du siège qu’il occupe. Les véritables et légitimes héritiers de ce siège sont depuis quelque temps, en train de le réclamer, à cause de ce que monsieur Taki brade non seulement leur patrimoine foncier, mais aussi dilapide les fonds de la famille.
La génération Bloussoué actuellement au pouvoir voudrait donc porter à la connaissance de toute l’opinion que, selon les us et coutumes, dans de telles circonstances, c’est à elle que revient la responsabilité d’assurer la transition. Elle compte par conséquent, assurer pleinement ses responsabilités, dans l’attente de la décision des recours en cours auprès des autorités compétentes».
Gk






































































