Le 20e congrès de l’association africaine de l’eau (AAE/AFWA), se déroule depuis le lundi 24 février à Kampala en Ouganda.
Présent à l’ouverture de cette rencontre internationale, le président de la république ougandaise, Yoweri Kaguta Museveni a saisi l’occasion pour inviter les différents acteurs de l’eau et de l’assainissement à travailler sur cinq objectifs en vue d’atteindre le point 6 du développement durable.
Il s’agit notamment de la prise en compte de la conversation de l’eau afin de la rendre salubre, de l’utilisation’ de l’eau potable, de l’augmentation de la quantité en déstalinisant l’eau de mer et enfin éviter la surexploitation.
«Il faut traiter les questions de l’eau de manière intégrer et non fragmenté. pour ce faire, il faudra penser aux stratégies, aux innovations et aux outils émergente pour atteindre les ‘objectifs de l’ordre 6″, a t-il déclaré.
« l’accès à l’eau potable est difficile. même s’il y a eu du progrès, des efforts restent encore à faire. les pollutions organiques et chimiques impactent l’économie africaine. l’Afrique, avec une moyenne de 0,4%, est en deçà de la moyenne générale qui est de 0,6%. l’insécurité de l’eau est rendue complexe à cause des crises socio-politiques. pour y arriver, l’Afrique doit investir six fois plus dans le secteur. mais il y a de l’espoir », a assuré pour sa part, Gustavo Saltiel, représentant la banque mondiale.
Avant d’affirmer que pour y arriver la banque mondiale a pensé à d’autres partenaires pour apporter des ressources en eau.
Fulbert YAO avec Solange ARALAMON envoyée spéciale