Les ivoiriens doivent être vigilants. Car tout le « vuvuzela » actuel de l’opposition cache un plan machiavélique.
En effet, ne voulant pas admettre son échec, face à la popularité du président Alassane Ouattara au niveau national et international, elle a opté avec certaines complicités, d’utiliser toutes les variantes nécessaires pour déstabiliser le pouvoir afin de s’emparer de l’appareil étatique.
Sa tratégie avant le lancement de l’assaut final, a plusieurs cordes à son arc. L’une est d’ores et déjà en marche. Elle consiste à exacerber la violence dans le pays. Et, en même temps, mettre en marche tout l’appareil de propagande pour rendre le pouvoir responsable et l’accuser de tous les maux, tant au niveau national qu’international.
Les récentes flambées de violence, illustrent bien cette stratégie de guérilla organisée. Heureusement, dans 90% des localités, les populations ne suivent pas le mot d’ordre qui vise à en découdre avec le président Alassane Ouattara et son équipe.
L’autre variante de la stratégie consiste à jouer, volontiers, la carte de la provocation, en étant tous candidats à l’élection présidentielle bien que sachant que certains sont disqualifiés par la justice.
Ces hommes politiques qui disent avoir instauré la démocratie en Côte d’Ivoire, connaissent, pourtant, presque par cœur l’article 49 du code électoral, qui indique que : «sont inéligibles les personnes privées par la décision judiciaire de leur droit d’éligibilité»
Laurent Gbagbo, Guillaume Soro…, savent qu’ils seront disqualifiés par le conseil constitutionnel, au regard de la loi, mais ils foncent, car derrière se cache un plan machiavélique.
Une autre stratégie consiste à salir l’image de la CEI, pourtant dirigée par un magistrat qui a la tête sur les épaules.
A cet effet, Henri Konan Bédié pilote bien les choses. Il exige un audit international, soutenant que «le Président de la CEI a avoué que la liste électorale 2020 comporte 03% d’anomalies ». Mais le président du PDCI ne donne pas les circonstances de ce prétendu aveu.
Dans cette affaire, Bédié aurait pu poser ses griefs pendant le contentieux ouvert à l’issue de l’affichage de la liste électorale provisoire en vue d’obtenir un fichier électoral propre et fiable. Mais il ne l’a pas fait. Car selon des observateurs, son l’intention, derrière cette stratégie, serait de jeter l’éponge.
Selon les mêmes sources, il pourrait inviter alors ses partisans à descendre dans la rue sous prétexte que les conditions ne seraient pas réunies.
Une fois dans la rue, les opposants voudront saisir la communauté internationale afin d’affaiblir le pouvoir et réclamer une transition.
En clair, les opposants veulent entacher le bilan reluisant du président Alassane Ouattara.
Seulement voilà, Ils ont échoué. La Côte d’Ivoire ne sombrera pas à nouveau, après les évènements de 2010.
La communauté nationale et internationale est en phase avec le Président Alassane Ouattara pour cet autre mandat.
Il tient le bon bout et ne lâchera rien. La propension de l’opposition à vouloir détruire et à désunir la cité au gré de leurs intérêts particuliers et de leurs ambitions personnelles ne passera pas.
L’intrépide