Le président de la République, Alassane Ouattara a donné un coup d’accélérateur au développement de la Côte d’Ivoire, à travers les grands travaux. Outre cela, il travaille à offrir un climat de paix à ses concitoyens. Face à cet engagement, à toute épreuve, l’opposition ne sait plus quoi dire. Elle s’accroche aux menu-fretins.
Dans l’histoire du développement de la Côte d’Ivoire, le Président de la République Alassane Ouattara restera à jamais dans la mémoire collective. Ses actions le rendent immortel. Aujourd’hui, la Côte d’Ivoire, contrairement aux vingt dernières années avant son accession à la magistrature suprême en 2011, a fière allure. Le chef de l’Etat a mis en place les éléments d’une croissance forte et durable. Ainsi, l’économie a progressé à un rythme moyen de 8 % par an, avec un pic de 10,1 % en 2012 et une projection de 7,2% en 2023. Une performance qui fait de la Côte d’Ivoire, l’un des États les plus dynamiques du monde. L’économie ivoirienne s’appuie sur des secteurs solides : le cacao, les produits agricoles, l’énergie, les services, les ports… Tout cela , a pour retombée, la réalisation de projets d’infrastructures majeurs, dont plusieurs sont en cours, comme le métro, le 4e et 5e pont, des stades pour abriter la CAN 2023, la construction de 33 ponts, l’autoroute Gesco-Carrefour Jacqueville construite en 2×2 voies, la route de la prison civile d’Abidjan, de centaines de kilomètres d’autoroute et de route à travers le pays, qui ont pour objectif d’augmenter la mobilité́ dans le pays et surtout de désengorger Abidjan, la capitale économique. Ces actes de développement reposent sur un triple défi : maintenir un rythme rapide et durable, instaurer une croissance plus inclusive et maintenir les paramètres d’une action fiscale et budgétaire équilibrée. Alassane Ouattara ne fait pas que construire des infrastructures. Il fait du social, son cheval de bataille conformément à son slogan de campagne « la Côte d’Ivoire solidaire». Ainsi, il a procédé à une revalorisation des salaires. Le chef de l’Etat a réparé une injustice qui était faite à certains fonctionnaires et agents de l’Etat. En effet 1/3 d’entre eux n’avait pas droit à l’indemnité contributive de logement. Désormais, c’est chose faite. La cerise sur le gâteau, c’est l’instauration d’une prime spéciale annuelle, la Prime ADO, payable chaque début du mois de janvier, à tous les fonctionnaires et agents de l’Etat et représentant 33%, soit le tiers du salaire mensuel indiciaire de base du mois de décembre précédent.
Une recherche perpétuelle de la paix
Il faut ajouter à ces grandes actions, la réconciliation. En moins d’une décennie, Alassane Ouattara a posé des actions fortes, pour une stabilité retrouvée et consolidée.Dans son ambition de rassembler tous les Ivoiriens autour de l’idéal de paix, Alassane Ouattara a signé en 2018, une ordonnance portant amnistie en faveur de 800 personnes concernées par la crise post-électorale de 2010-2011. Cette amnistie a permis la libération de plusieurs personnalités, notamment de l’opposition, emprisonnées suite à la crise post-électorale ainsi que le retour d’exil de plusieurs milliers de compatriotes ivoiriens.Sur le plan politique, son engagement sans cesse croissant de bâtir une Côte d’Ivoire nouvelle, éprise de paix sociale a permis de donner un coup de pouce à la tenue du dialogue politique.Le retour de l’ex-Président Laurent Gbagbo en Côte d’Ivoire, le 17 juin 2021, après son acquittement par la Cour pénale internationale (CPI) symbolise cette volonté du Chef de l’Etat et du gouvernement d’aller à la décrispation du climat politique.Sur le plan social, plus de 310 000 réfugiés ivoiriens, soit 96% de ceux enregistrés en Afrique de l’Ouest, sont rentrés. Les autorités ont, notamment, facilité la réintégration dans l’administration de ceux qui étaient des fonctionnaires et autorisé le dégel des avoirs de plusieurs personnalités. Les actes du chef de l’Etat sont si frappants qu’il est difficile de trouver des arguments contre lui. Malheureusement, dans le tournis, des opposants en panne sèche d’arguments tombent dans la diversion. Les discours enflammés des membres du PDCI et du PPACI sont une stratégie pour détourner l’attention des ivoiriens. Très conscient des travaux herculéens du président de la République, le secrétaire exécutif du Pdci n’a pas manqué de cracher le morceau, en avouant qu’ils sont conscients des travaux qui sont faits, mais ils ne participeront pas à faire l’éloge du pouvoir, au risque de demeurer dans l’opposition. Certains à l’instar de Odette Lorougnon, sans doute nostalgique des moments sombres et calamiteux de la gestion de leur mentor, ne cesse de distiller la violence, la haine comme arme de combat politique et s’exalte dans le déni de citoyenneté contre la République. De même, Koné Katinan qui qualifie la politique économique ivoirienne d’économie de la dette » ou les postes à péage, de favoriser lacherté de la vie, n’esten réalité que dans des contre-vérités, qui participent à manipuler l’opinion. La vérité, c’est que tous les pays au monde ont recours à la dette. Et lorsque la Côte d’Ivoire va chercher l’argent, c’est pour travailler. Le pays n’est nullement surendetté. C’est d’ailleurs une des raisons pour lesquelles, les bailleurs continuent de donner l’argent, parce qu’Alassane Ouattara a permis au pays d’avoir une économie solide et la capacité de rembourser. Aussi, les postes à péageont pour but de doter le pays d’un réseau routier performant, mais surtout pour son entretien régulier et sa préservation. Les temps ont changé et l’opposition gagnerait à faire sa mise à jour.
Fulbert Yao