L’actuel directeur général de Lydia Ludic Côte d’Ivoire René Le Henry multiplie plusieurs actions sociales en faveur des couches sociales défavorisées.
Engagé à donner du sourire autour de lui, il a fait de sa structure une entreprise citoyenne. En ce sens, plusieurs partenariats avec des ONGs ont été signés en vue d’aider les enfants orphelins et vulnérables.
Homme de culture attaché aux valeurs sociales, René Le Henry met au cœur de sa gestion l’humain. Toute chose qui lui vaut d’aider plusieurs couches sociales défavorisées. Notamment plusieurs actions en destination des enfants orphelins et vulnérables. En étroite collaboration avec des ONGs agissant dans le social et l’humanitaire, l’actuel Directeur général de Lydia Ludic CI a entrepris plusieurs chantiers en destination des plus démunis.
Ainsi, pour ces fêtes de fin d’année qui s’annoncent, René Le Henry et son entreprise se sont associées à l’ONG ‘’Coup D’Main’’ pour donner du sourire à de milliers d’enfants. Ce partenariat va permettre à des familles d’accueil d’enfants orphelins et vulnérables de bénéficier de vivres et non vivres.
Pour René Le Henry, aider les enfants orphelins et vulnérables est la seule chose qui puisse leur donner le sourire en ces moments de fête de fin d’année. C’est pourquoi, explique-t-il, il ne ménage aucun effort lorsqu’il est sollicité en ce sens. « Je suis heureux lorsque je vois des enfants vulnérables et orphelins obtenir de la satisfaction par le truchement des actes que pose l’Ong », a-t-il témoigné. Il a par ailleurs appelé d’autres entreprises et chefs d’entreprises à s’inscrire dans sa vision qui est celle d’apporter assistance et aide aux couches sociales défavorisées notamment les enfants orphelins et vulnérables.
A la tête de la multinationale, filiale du Groupe Pefaco fondé par Francis Perez et Olivier Cauro en 1995, René Le Henry, en plus de ses nombreuses actions sociales, soutient également la culture. En juin 2021, il s’était impliqué dans l’organisation du concours Lydia Ludic Talents dont la première édition était portée sur la peinture. Le concours organisé par son entreprise était en collaboration avec l’Union des journalistes culturels de Côte d’Ivoire. « L’art est une discipline majeure qui doit être honorée et valorisée œuvres », avait-il soutenu lors de la soirée de récompenses dudit concours.
Fulbert Yao avec Sercom