La lenteur et le non démarrage de chantiers inscrits à l’ordre du jour du 7ème Traité d’amitié et de coopération (TAC) entre la Côte d’Ivoire et le Burkina Faso tenu en juillet 2018 à Yamoussoukro sont un motif d’insatisfaction relevé par le président Alassane Ouattara, mercredi, à Ouagadougou lors de la 8ème édition du TAC.
M. Ouattara a relevé dans cette veine la réhabilitation du chemin de fer Abidjan-Ouagadougou-Kaya avec prolongement à Tambao et le Niger, la matérialisation de la frontière et la gestion des ex-occupants du Mont Peko en Côte d’Ivoire.
“L’occasion nous est donnée de nous pencher sur ces questions”, a-t-il indiqué, soulignant qu’il faut aller à la concrétisation de ces chantiers.
Le chef de l’Etat a également évoqué l’orpaillage clandestin qui affecte aussi bien l’économie, l’environnement que la santé humaine, non sans appeler à un examen de cette problématique qui est d’une “urgente nécessité”.
(AIP)