A l’ occasion de la célébration de la journée internationale de la non-violence, le 02 octobre de chaque année, la communauté indienne de Côte d’Ivoire a rendu un hommage au père fondateur de ce concept, Mahmat Gandhi.
Deux jours durant, les 02 et 03 octobre, la ville de Grand Bassam a servi de cadre pour cette occasion.
Lors de la première journée, accompagné des autorités locales,du maire de la commune de Bassam, Jean Louis Moulot, de son Excellence Sailas Thangal , ambassadeur de l’inde en Côte d’Ivoire et des patrons des entreprises indiennes installées à la zone franche , un hommage floral a été rendu au buste du père fondateur de l’indépendance indienne, posée juste à l’entrée du Village des Technologies de l’Information et de la Biotechnologie (VITIB).
Cette commémoration s’inscrit en effet dans le cadre des festivités marquant le 150è anniversaire de naissance de Mahatma Gandhi.
Pour le maire de la ville historique de Bassam, en commémorant l’anniversaire de naissance de Mahatma Gandhi, c’est une exhortation à perpétuer les valeurs incarnées par cette personnalité.
«Nous voulons célébrer les valeurs d’humanisme, les valeurs de tolérance, de non-violence et les valeurs de paix incarnées par ce grand homme. Dans le contexte particulier de nos pays, il est important de se souvenir de ces valeurs. Au-delà, c’est la coopération ivoiro-indienne que nous célébrons », a soutenu Jean louis Moulot.
À sa suite, son Excellence Sailas Thangal, ambassadeur de l’inde en Côte d’Ivoire, a apprécié la bonne qualité des coopérations économique entre son pays et la Côte d’Ivoire, dont l’un des fleurons est la zone franche de Grand Bassam.
Le diplomate a ensuite invité les entreprises indiennes ainsi que les populations à continuer d’incarner et de poursuivre les valeurs de cet illustre homme.
Puis, peu après une visite dans une usine d’assemblage d’ordinateurs installée sur le site du vitib, un planting d’arbre symbolique a été effectué au sein de deux entreprises indiennes également présentes à la zone franche. Cet acte vise à perpétuer les valeurs de développement durable qu’il a toujours défendues.
Jean Eden Kouamé