Après avoir tout tenté sans succès, les détracteurs du maire Ibrahim Cissé Bacongo ont encore inventé un autre gros mensonge dans le but de le « descendre ». De quoi s’agit il.
En effet, il circule, depuis samedi, sur les réseaux sociaux une vidéo tendancieuse dans laquelle la réalisatrice affirme que la mairie de Koumassi serait en train de distribuer des machettes et repris par certains cyberactivistes avec comme titre « Le maire Cisse Bacongo prépare un génocide »
Dans une note d’information, le service communication de la Mairie, fait noter « qu’il s’agit, ni plus, ni moins qu’une campagne de dénigrement et d’intox contre le Maire », invitant les ivoiriens à ne pas y prêter attention. Car le maire, est un humaniste épris de paix.
La preuve, selon le sercom « dans sa quête du vivre ensemble à Koumassi, Cissé Bacongo a consacré sa journée du 31 octobre à sillonner les 16 quartiers de Koumassi afin de partager avec les populations un message de paix et de cohésion, avant de les appeler à aller voter ».
il rappelle « qu’au niveau du quartier SOGEFIHA où le Maire a passé plus de 45 mn à s’entretenir avec les populations et à les exhorter à aller voter ».
Informé d’une altercation entre des jeunes du quartier et sa délégation, « le maire a déboursé la somme de 200.000f, qui a été remise à monsieur Dago Kévin, en présence de Baba Mohamed, Départemental RHDP de la SOGEFIHA, soit 50.000f devant servir à soigner un blessé et 150.000f comme frais de mission pour continuer à passer les messages de paix et de cohésion. Sortant de la cité, le Maire a été hélé par le blessé qui a affirmé ne pas avoir reçu les 50.000f pour ses soins. C’est ainsi que le maire, comme il sait toujours le faire, lui a encore remis 50.000f, avant de se retirer, en donnant rdv aux populations pour une rencontre après les élections. Toute la scène s’est déroulée en présence des journalistes de la RTI, de Life TV et des différents organes de la presse écrite et en ligne qui étaient dans le cortège », a souligne ses services.
Fulbert YAO