L’arrêté qui avait été pris le 12 janvier 2022 a été communiqué à Nathalie Yamb ce vendredi 14 octobre 2022 par lettre recommandée. RFI a pu se procurer copie de ce texte, dans lequel l’Etat français reproche notamment à Nathalie Yamb, très active sur les réseaux sociaux, « d’encourager le recours à la violence à l’encontre des symboles de la présence française en Afrique ».
Un africaine d’origine camerounaise de nationalité suisso-ivoirienne, logée et hébergée par l’Europe qui attaque matin, midi, soir la mère nourricière.
Par devoir de respect, la France lui a signifié son interdiction de mettre pieds sur son territoire, tout en gardant cette information confidentielle.
Bien qu’avertie, la bonne dame en a cure. S’attaquant régulièrement sur les réseaux sociaux à la présence des intérêts français en Afrique. Paris a sonné la fin de la récréation à son encontre, avec elle tous ces pseudos panafricanistes qui se pavanent tous en Europe avec des CNI des pays européens en poche. Kemi Seba, Nathalie Yamb, Souley de Paris, Serge Kassi et autres pro-Gbagbo tout comme les partisans des idéologies anti européennes sont ainsi tous bien avertis.
On ne peut pas vouloir une chose et son contraire. Vivre des aides, et autres allocations de la France et des autres nations européennes et lancer des pierres à ces nations tous les jours que Dieu fait, est une inconséquence qui ne s’explique pas. Des intérêts de la France et autres nations européennes en Afrique, ce sont pourtant ces panafricains de nationalité française et européenne qui en tirent le plus grand profit. La majorité d’entre eux étant en Europe dans des situations de sans emploi, nourris et blanchis par ces États d’accueil grâce à ce que les Européens tirent de l’Afrique. Le retour en Afrique s’impose donc à eux pour un combat bien compréhensif par nous autres, les Africains résidant en Afrique.
Sam Wakouboué