A Gaza, les tenants de la péninsule ne tiennent plus Le coup. Tort, ils l’ont eu de défier l’armée juive un 7 octobre au petit matin. Festifs, les gazaouis l’ont été ce jour-là. Ils l’ont pensé, à tort ou à raison « enfin on s’est vengé de l’oppresseur juif ». Le monde fut ému de voir le feu de la mort sur Israël. Condamnations fusent de partout.
Et Israël décida de riposter. Les premiers temps ont été compris. Et accepté par tous comme de la légitime défense.
19 mois après l’attaque, la légitime défense est de olus en plus difficilement explicable maintenant. Des universités prestigieuses grognent contre le désastre que vit désormais le peuple de la péninsule de Gaza. Dorénavant le monde les pleure. Trop c’est trop. Pense le monde. Mais personne n’ose agir pour stopper la tragédie.
Idem à Kiev. La crise à trop duré, pensent les analystes politiques. Il faut sauver le peuple ukrainien des griffes des Russes. Les morts se succèdent de jour à jour.
Un décompte macabre qui se joue aussi du côté de Goma dans l’est de la République Démocratique du Congo.
Et pourtant la communauté internationale existe toujours. Une communauté qui a uni ses forces pour mettre un termes à de grandes crises dans le monde. Elle est quasi-inexistante dans ces différentes crises qui font un grand tort à la population civile.
Et l’on a du mal à comprendre ce silence inexplicable de la communauté internationale face à la souffrance des peuples de Gaza de Kiev et de Goma.
Sam Wakouboué