Loin de fléchir le genou devant les militaires au pouvoir au Mali, les chefs d’Etat de la CEDEAO, lors de leur sommet tenu lundi à Niamey au Niger, donnent jusqu’au 15 septembre à la junte pour désigner un président et un premier ministre civil de transition.
Cela afin de pouvoir sortir le pays de l’impasse. En le remettant dans le concert des nations avec le fonctionnement de ses institutions et organiser une élection présidentielle dans les plus brefs délais.