Kouadio Konan Bertin dit KKB est né le 26 décembre 1968 à Lakota. Il est marié et père de 4 enfants.
Fils de KOFFI KOUADIO Mathieu, originaire de Bocanda, dans le centre de la Côte d’Ivoire et de DAGO GUIZO, native de Lakota, dans le centre-ouest ; il est donc le fruit d’un brassage ethnique entre deux grandes régions.
ivoiriennes.
Ce métissage à l’ivoirienne et ses initiatives propres destinées à faire tomber les murs de méfiance entre les Ivoiriens le désignent comme la meilleure chance de réconciliation de cette Côte d’Ivoire si profondément divisée. KKB, c’est aussi une riche carrière au sein du PDCI-RDA, parti fondé par Félix Houphouët-Boigny.
Président de la jeunesse du PDCI-RDA (2003-2013), membre du bureau politique depuis 2003, député de Port-Bouët, l’une des grandes communes au sud d’Abidjan à l’Assemblée Nationale (2011-2016), vice-président du groupe parlementaire PDCI-RDA durant cette mandature, il est actuellement conseiller municipal de la commune de Port-Bouët. Déjà en 1999, alors qu’il n’était pas membre des.
instances statutaires du PDCI-RDA, il a bravé la junte militaire se dressant contre ce qu’il a considéré comme la destruction de l’œuvre de Félix Houphouët-Boigny et pour dire non à l’alternance par les armes.
En 2001, il a été la cheville ouvrière du retour d’exil du président Bédié. De 1999 au XI eme congrès du PDCI de 2003, il a su insuffler l’ardeur militante aux membres traumatisés du parti.
C’est de là qu’il a tiré sa légitimité qui lui a valu d’être élu comme président des jeunes du parti et membre du bureau politique. Les structures de la JPDCI-RDA qu’il a mis en place sont à l’origine de la renaissance du PDCI-RDA sur l’échiquier politique nationale après sa fragilisation par le coup d’Etat militaire.
Toutes ses actions et son leadership pour emmener le PDCI-RDA au pouvoir lui ont valu d’être combattu de l’intérieur par ceux qui craignaient pour leurs postes. D’où sa mésentente avec les animateurs du parti et son désir de se positionner désormais comme l’alternative crédible capable de propositions innovantes pour une nouvelle Côte d’Ivoire qui gagne.
Devant le refus du PDCI-RDA de présenter un candidat issu de ses rangs pour l’élection présidentielle de 2015, KKB n’a pas hésité à prendre ses responsabilités en y allant en qualité de candidat indépendant avec les difficultés liées à la logistique sans oublier l’épineuse question de financement. Après scrutin, il a occupé la 3ème place. En marge du projet structurant qu’il a proposé à ses compatriotes, KKB a édifié plus d’un sur sa capacité intellectuelle, technique et politique à hisser la Côte d’Ivoire au firmament de sa gloire.
C’est pour quoi son programme économique et social basé sur la transformation industrielle de nos matières premières, faire de son pays un paradis fiscal par faire de la défiscalisation, la détaxation et la dérèglementation sont des instruments de séduction et d’attirance des capitaux étrangers pour agir de façon concrète sur la vie des
Ivoiriens.
Fulbert YAO avec sercom