Le ministre Amédé Kouakou poursuit sa campagne sur le terrain. Après les étapes de Divo et Lakota, le directeur régional de campagne du RHDP dans le Lôh-Djiboua a mis le cap, ce vendredi 17 octobre 2025, sur Oumé et Hiré, avec des escales à Aviékro (sous-préfecture de Guépahoua), Hiré centre et Goudi, dans le canton Zégo.
Partout où il est passé, Amédé Kouakou a insisté sur la nécessité de mener une campagne apaisée, responsable et constructive.
‘Il faut dissocier la politique de la violence. Il ne faut pas empêcher les enfants d’aller à l’école, leur avenir en dépend. Ce qu’on veut, c’est la paix et le développement », a-t-il indiqué.
À Hiré, où l’accueil fut particulièrement chaleureux, le ministre a tenu un discours centré sur la paix et le développement.
Il a mis en garde contre les fausses rumeurs et les manipulations politiciennes, rappelant que la région a largement bénéficié des réalisations du Président Ouattara, notamment à Divo, et que Hiré connaîtra bientôt la même dynamique de transformation.
« Chez nous à Hiré, on ne veut pas de palabres. Ce qu’on veut, c’est la paix et le développement. Et c’est le Président Alassane Ouattara qui peut nous l’apporter », a-t-il affirmé.
Dans une ambiance d’unité et de fraternité, Amédé Kouakou a exhorté les populations à se mobiliser massivement pour offrir une victoire éclatante au candidat du RHDP dès le premier tour.
« On doit faire un coup KO ! Si vous votez pour le Président, quand j’irai demander des choses pour vous, ce sera plus facile», a-t-il lancé.
Au nom des populations, lr général Joseph Dja Blé a salué la démarche du ministre et promis une campagne civilisée, de proximité et sans violence.
« L’indiscipline est terminée à Hiré. Nous allons mener une campagne exemplaire pour offrir 95 % des voix au Président Ouattara », a-t-il promis, sous les ovations.
Même son de cloche à Goudi, où les autorités coutumières et les représentants des populations ont insisté sur la nécessité de préserver la paix et la cohésion sociale tout au long du processus électoral.
« C’est Houphouët-Boigny lui-même qui a fait appel à Alassane Ouattara en 1989 pour redresser le pays. Depuis qu’il est là, il travaille. C’est pourquoi nous devons lui donner encore cinq ans », a-t-il exhorté.
Par ces visites dans les villages et campements les plus éloignés, le ministre démontre que chaque voix compte et que le message du développement prôné par le Président Ouattara ne doit laisser aucun Ivoirien en marge, quel que soit l’endroit où il vit.
Fulbert Yao