Ce fut un acte fort posé le 7 octobre 2025 par la Conférence des Présidents des Conseils d’Administration, des autorités de régulation et des conseils de surveillance des entreprises publiques. Ce jour là, sous la conduite du président, Gnizako Antoine, les membres ont remis un chèque de 100 millions de FCFA au Secrétaire exécutif du RHDP, Cissé Bacongo, pour contribuer à la campagne présidentielle du 25 octobre 2025.
Toutefois, le secrétaire général de la Conférence des Pca, Issouf Fadika, par ailleurs Pca du Guichet unique du commerce extérieur de la Côte d’Ivoire (Guce-CI), a tenu à faire des précisions à la presse.
Selon lui, ce soutien financier relève d’un « acte individuel et volontaire » guidé par la volonté de contribuer à la stabilité politique et au développement de la Côte d’Ivoire.
Sur 80 membres que compte la Conférence des Pca, 62 ont participé à la levée de fonds.

« Notre boussole est claire : traduire en actes la vision stratégique du Chef de l’État et faire de la bonne gouvernance un levier de développement pour tous », a-t-il souligné.
Issouf Fadika a en outre précisé qu’entre 2020 et 2024, les entreprises et établissements publics ont enregistré une croissance spectaculaire : chiffre d’affaires : de 4 929 à 8 708 milliards de Fcfa (+12% par an), résultat net : de 496 à 1 032 milliards (+16% par an). Ces performances traduisent, selon le SG, l’efficacité de la gouvernance impulsée par le Président de la République, Alassane Ouattara.
« Plus d’investissements, de meilleurs services publics, des marges budgétaires renforcées et une crédibilité accrue auprès des partenaires. Lorsque l’État fixe une vision, lorsque les institutions se modernisent et que la confiance s’installe, la valeur se diffuse vers l’investissement, l’emploi et la qualité de service au citoyen », a-t-il martelé.
Pour le secrétaire général de la Conférence des Pca, le bilan solide du Président Ouattara doit s’accompagner d’un nouvel élan politique. C’est pourquoi, durant la campagne, les membres de la conférence ont décidé de sillonner les villages, les quartiers et les hameaux. Cela, afin de partager la vision du Chef de l’État et de promouvoir la paix, la stabilité et la cohésion nationale.
« Ce n’est pas par esprit de conquête, mais par sens des responsabilités : pour éviter les incertitudes, accélérer les chantiers et sécuriser les trajectoires », a-t-il conclu.
Fulbert Yao







































































