Un ver rongeur au cœur du fruit, voilà comment on peut qualifier la Fesci. Dont le but sadique est d’entraver les efforts, du ministre de l’enseignement supérieur et de la recherche scientifique.
La Fesci est un parasite, un cancer, un groupe d’imatures et un anti-catalyseur du développement du système éducatif.
Les mots ne sont pas forts. C’est la pure réalité. De vous à nous. Comment expliquer le fait que, alors que le ministre de l’Enseignement Supérieur et de la Recherche Scientifique, Adama Diawara, homme infatigable, se bat depuis des années pour restaurer la réputation de l’université, cette faction persiste à se complaire dans la médiocrité ?
Il est nécessaire que la Fesci comprenne qu’au lieu de susciter de l’hostilité à tout vent, elle aurait tout avantage à soutenir les initiatives du ministre Adama Diawara. Et notamment la nouvelle loi sur l’enseignement supérieur et de la recherche scientifique.
Ce texte est à leur avantage. Elle implique des réformes telles que l’interdiction d’orienter les nouveaux bacheliers vers des établissements privés notés en dessous de 10 sur 20 ; une période d’un mois de cours de mise à niveau pour les nouveaux bacheliers orientés vers les universités publiques ; l’instauration du contrôle continu par des interrogations écrites et des devoirs ; la formation continue à l’Université Virtuelle de Côte d’Ivoire (UVCI) ; la notation des enseignants par les étudiants et la nomination des Présidents d’universités après un appel à candidatures.
Dans cette réforme, chaque professeur encadreur peut avoir jusqu’à 2 (deux) doctorants à l’avenir.
Pour l’année 2023, chaque professeur titulaire devra encadrer 4 (Quatre) doctorants et chaque Maître de Conférence, 3 (trois) étudiants en recherche.
Depuis sa nomination, Adama Diawara a fait bouger les lignes. Et il le fait bien d’ailleurs. D’importants investissements ont permis la réhabilitation de toutes les universités existantes, notamment celles de Cocody, d’Abobo-Adjamé et de Bouaké.
De nouvelles universités ont été ouvertes à Man, à San Pedro et à Bondoukou, ainsi qu’une unité virtuelle. Les résidences universitaires ont été rénovées, et des cités sont en construction à Korhogo et à Daloa. Des restaurants, tels ceux des universités d’Abobo-Adjamé et de Cocody, sont capables de servir jusqu’à 10 000 repas par jour.
Les universités ont également été équipées de salles de laboratoires et de travaux pratiques, démontrant la volonté des autorités d’engager des œuvres sociales en faveur des étudiants. Le recrutement massif d’enseignants dans le supérieur public est également en cours avec la création de centaines de postes budgétaires.
La Fesci gagnerait à être un partenaire plutôt qu’un obstacle.
Fulbert Yao
Fulbert Yao