Les mamans de la ville de Grand-Bassam (sud ivoirien) ont passé des moments inoubliables le vendredi 04 juin dernier.
En effet, à l’occasion de la fête des mères, l’Association des femmes dynamiques de la rosette a organisé une belle fête pour les célébrer. Marraine de ce moment festif, la sénatrice Marie-Irène Kominlin Eba Richmond Ahoua a cadeauté plus de 200 femmes du troisième âge, veuve…, en leur offrant des pagnes et bien d’autres présents en lieu et souvenir de la journée. Deux temps forts ont marqué l’évènement. D’abord les danses et des poèmes gracieusement servis aux mamans et des allocutions prononcées par la présidente de l’association et la sénatrice Marie-Irène Ahoua. La vénérable a rendu un vibrant hommage aux femmes pour «leur pugnacité, qui traduit de manière éloquente leur volonté de soutenir une plateforme au bénéfice des femmes, en vue de leur autonomisation». Elle a en outre salué l’unité de ces dernières de même que leur contribution dans le développement du pays. Marie-Irène Ahoua a salué toutes les initiatives prises par le gouvernement en leur faveur comme le fond FAFCI, initié par la première dame, Mme Dominique Ouattara. Elle a exhorté ses sœurs à épouser les qualités de l’intégrité, du dévouement, afin de relever les nombreux défis liés à l’émergence de la femme. Poursuivant, la sénatrice a recommandé aux mamans « d’entreprendre et à conduire leurs activités dans un esprit de coopération, de vision, afin de changer leur statut, lutter contre la pauvreté, promouvoir la formation ». enfin, elle a invité les mères à inculquer les valeurs morales, de solidarité, à leurs enfants, dans les différents lieux qu’ils fréquentent. Avant elle, Etien Gislaine, présidente de l’Association des femmes dynamiques de la rosette a remercié la marraine pour ses œuvres de bienveillance. Elle a promis d’œuvrer sans relâche pour le bien-être de ses sœurs, tout en rappelant que les objectifs principaux de l’association se situent en la promotion du genre à travers des la formation et le renforcement des capacités ainsi que l’entraide.
Fulbert Yao