Ce don qui s’inscrit dans la 5e année consécutive a eu lieu, dimanche, en présence du ministre des Transports, Amadou Koné, par ailleurs maire de la commune de Bouaké. Sur l’esplanade de sa résidence au quartier Kennedy, en présence également de l’imam central de Bouaké, Touré Badiawari, le président du mouvement Génération émergente de Côte d’Ivoire (GECI), Kaba Ibrahima, a offert des vivres à 1 000 familles aux revenus modestes de Bouaké, pour mieux aborder le mois du Ramadan, l’un des cinq piliers de la religion musulmane.
Dans la pratique, c’est un kit alimentaire composé d’un sac de 5 kg de riz, 5 kg de sucre, 5 litres d’huile de table et 10 boîtes de lait concentré non sucré que chaque ménage bénéficiaire a reçu. Visiblement heureux de cet acte de générosité au bénéfice des populations, le ministre des Transports a tenu à « saluer et féliciter Kaba Ibrahima », président de la GECI, « pour le soutien qu’il apporte aux musulmans dans le mois de Ramadan. Mais, en dehors du Ramadan, il fait beaucoup pour les populations de Bouaké notamment les démunis. Que Dieu de te bénisse et donne la santé et les moyens pour continuer à aider ». Le membre du gouvernement a également exhorté les imams à prier pour le Chef de l’Etat et les populations.
A en croire le président de la GECI, Kaba Ibrahima, « Les dons que nous remettons aujourd’hui sont le fruit d’un élan de générosité et de fraternité. Ils symbolisent notre engagement à soutenir les plus démunis, à partager les bénédictions qu’Allah nous a accordées et à contribuer à l’épanouissement de notre communauté ».
Poursuivant, il a indiqué que son élan de cœur vise à soutenir la communauté musulmane durant le Ramadan, en ligne de mire, la célébration des valeurs de partage, de solidarité et d’entraide.
Kaba Ibrahima a aussi remercié les donateurs et les membres de la GECI pour leur appui, ainsi que les bénéficiaires pour leur participation à cette initiative. A son tour, l’imam central de Bouaké, El hadj Touré Badiawari, a fait des bénédictions pour le bienfaiteur du jour.
Marcel Konan
