Après le discours du chef de l’État Alassane Ouattara, devant le parlement réuni en congrès ce 18 juin 2024, nombreux sont les opposants qui n’ont pas manqué de le qualifier de « vide, plat et ennuyeux ». D’autant plus qu’il ne donne aucune indication sur la succession du président au pouvoir depuis 13 ans. D’autres, à l’instar d’Affi Nguessan, ont estimé qu’il s’agit d’un « catalogue, exercice d’autosatisfaction ».
Pourtant, une analyse approfondie montre que les critiques des députés de l’opposition manquent de fondement.
Leurs réactions témoignent même d’une mauvaise foi et d’un refus de voir la réalité des avancées concrètes du pays sous la présidence de Ouattara.
Et pourtant Depuis environ treize (13) ans, que le Chef de l’État est aux affaires la Côte d’Ivoire continue de faire chaque année d’importants progrès dans de nombreux domaines, malgré une conjoncture internationale mouvementée et une situation difficile dans notre sous-région, comme il l’a lui même rappelé dans son discours.
Ces progrès sont le fruit de son engagement en faveur de la démocratie, de la bonne gouvernance et de l’adhésion des Ivoiriens à sa politique. Il a tenu à féliciter l’ensemble de ses compatriotes pour leur confiance, mettant en avant la stabilité politique et sociale obtenue grâce à un dialogue constant.
Le président Alassane Ouattara a souligné que l’environnement politique et social est calme, grâce à un dialogue politique et social qu’il n’a cessé de promouvoir de 2011 à 2023. Pour lui, la paix, la cohésion sociale, le « vivre-ensemble » et la solidarité sont indispensables pour conduire des politiques économiques et sociales viables et efficaces.
Dans ce cadre, le Président a dressé le bilan des différentes réformes opérées au plan juridique et institutionnel, ainsi que les performances réalisées dans la plupart des secteurs socio-économiques vitaux impactant la vie des populations. Il a mis en avant des réalisations dans des domaines aussi variés que la sécurité, la diplomatie, le sport, la liberté d’expression et de la presse, les infrastructures routières, le transport, l’énergie, l’agriculture, les mines, la santé, le tourisme, l’éducation et la formation, la jeunesse et l’autonomisation des femmes.
En dépit des critiques, les données économiques et sociales montrent une amélioration significative de la qualité de vie en Côte d’Ivoire. Le taux de croissance économique du pays a été l’un des plus élevés de la région ces dernières années. De plus, les investissements massifs dans les infrastructures ont transformé le paysage urbain et rural, facilitant ainsi les échanges commerciaux et améliorant les conditions de vie des populations.
En matière de sécurité, la Côte d’Ivoire a renforcé ses capacités de défense et de sécurité intérieure, réduisant significativement le taux de criminalité. Ces progrès sont le résultat d’une politique cohérente et d’une vision claire du développement national.
Avec tant de clarté dans le discours du chef de l’Etat, Il apparaît clairement que l’opposition a fait une analyse stérile, se refusant à voir la réalité des avancées du pays.
En minimisant ou en ignorant les progrès tangibles réalisés, l’opposition ne fait que révéler son incapacité à proposer une alternative crédible. Les nombreux avantages dont bénéficient les citoyens, y compris ceux de l’opposition, résultent directement des efforts du chef de l’État. Au lieu de critiquer sans fondement, il serait plus constructif de reconnaître ces avancées et de travailler ensemble à la consolidation des acquis pour le bien de tous. Les efforts du chef de l’État méritent d’être salués plutôt que mal jugés.
Fulbert Yao