Dans une déclaration lue mercredi à Barcelone par son avocate Affoussiata Bamba Lamine, l’ex-chef de la rébellion Guillaume Soro reconnait avoir déstabilisé la Côte d’Ivoire en 2002.
Visé par un mandat d’arrêt international pour « présomption grave de tentative d’atteinte contre l’autorité de l’Etat et l’intégrité du territoire », M. Soro s’en défend, mais affirme en outre qu’il reconnaît la « déstabilisation » du pays du 19 septembre 2002.
Il faut rappeler que le coup d’Etat manqué du 19 septembre 2002 qui s’est mué en rébellion, a fait des milliers de morts dont des militaires.
Fulbert YAO